Desculpe, este conteúdo só está disponível em Francês, Inglês (Eua) e Italiano. Thomas GananciaDiplômé en droit public et en sciences politiques, je suis actuellement en Master “Relations Internationales” à l’Université Jean Moulin Lyon III.
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(Français) Face à un monde en morceaux, le secrétaire général des Nations-Unies, António Guterres, préconise le multilatéralisme. Pourtant, ce n’est pas la voie que Donald Trump, actuel président des Etats-Unis d’Amérique, a emprunté durant son mandat.
La notion de « multilatéralisme » est récente car elle s’introduit dans le vocabulaire américain en 1948 : jusqu’alors on parlait d’« action concertée » ou d’« action collective ». Elle désigne un mode de relations interétatiques visant à établir des règles communes. Autrement dit, un Etat s’inscrit dans une logique multilatérale lorsqu’il privilégie la concertation dans les relations internationales.
A l’approche des élections présidentielles américaines, l’avenir du multilatéralisme n’a jamais été aussi incertain.
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